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Djibouti

Assainir les relations franco africaines

Le petit pays de Djibouti entretien des liens étroits avec la France, du fait de la présence de bases françaises. La misère qui y règne n'a d'égale que la férocité du régime, qui recourt régulièrement à la torture.
Ci-dessous le dernier communiqué, et un résumé et ensemble de liens sur l'affaire Borrel, juge français mort il y a 10 ans en coopération. Les autorités françaises elles-même entravant l'élicidation de son assassinat.
  • Octobre 2005 : la légion d'honneur à trois officiers Djiboutien
  • L'assassinat du juge Borrel

  • Recherche "Djibouti" par Google sur le site de Survie France :

    > http://www.google.fr/search?q=site:www.survie-france.org+Djibouti

     

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    Zakaria Cheick Ibrahim commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur

    Question d'honneur. L'ambassadeur de France à Djibouti, Jean-Paul Angelier, distribue des médailles. Pourquoi ?
    > http://survie-france.org/article.php3?id_article=513
    Publié le mercredi 2 novembre, 2005

    Pourquoi la France a-t-elle décerné (1) les insignes de commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur au général Zakaria Cheick Ibrahim, chef d'Etat major de la Défense djiboutienne ?

    Outre le général Zakaria, deux officiers de haut rang des forces armées djiboutiennes, le colonel Youssouf Kayad Guelleh et le colonel Hassan Ali Kamil, ont été décorés des médailles de l'ordre de la Légion d'honneur au grade de chevalier. Pourquoi ?

    - alors que le Général Zakaria commande aux exactions d'un régime, présidé par Ismaël Omar Guelleh, renommé pour son mépris des droits humains.

    - alors que Djibouti a suspendu sa coopération judiciaire avec la France dans l'affaire de l'assassinat du juge Borrel, et que des dizaines de personnalités ont lancé un appel réclamant la vérité la concernant.

    - alors que le procès en diffamation intenté par le général Zakaria au président de l'Association pour le respect des droits de l'Homme à Djibouti (ARDHD), Jean-Loup Schaal (2), est en attente de jugement (le 22 novembre).

    Les médaillés pouvant se féliciter d'une honorable conduite doivent avoir envie de renvoyer leur rosette à ceux qui les mélangent avec d'insupportables fréquentations. La coutume de décerner la Légion d'honneur à des personnes peu recommandables est de nature à jeter le discrédit sur cette haute distinction nationale.

    (1). Le dimanche 30 octobre à la résidence de l'ambassadeur de France à Djibouti.

    (2). Le site de l'ARDHD (www.ardhd.org) ne ménage guère le régime Guelleh, dont il pointe l'ordinaire fait d'assassinats, de tortures, de viols, de corruption, d'exécutions sommaires - ni « l'un de ses premiers exécutants militaires ».

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    Affaire Borrel

    Bernard Borrel, magistrat français en mission de coopération à Djibouti a été trouvé mort le 19 Octobre 1995. Les autorités Françaises et Djiboutiennes ont immédiatement affirmé qu'il s'agissait d'un suicide.

    Ci-dessous un appel de l'ACAT sur le sujet, qui résume cette affaire, les communiqués de presse de Survie, puis quelques liens.


    APPEL URGENT - Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture
    Mardi 8 novembre 2005
    Appel urgent n°82

    France / Djibouti - L’affaire Borrel piétine

    Le 19 octobre 1995, le cadavre, à moitié calciné, de Bernard Borrel, magistrat français, est retrouvé au pied d'une falaise à Djibouti. Le jour même et alors qu'aucune autopsie n'a été effectuée, le chef de la mission de coopération française envoie un télégramme diplomatique annonçant que « Monsieur Borrel a mis fin à ses jours ».

    Le magistrat français enquêtait sur différentes affaires - trafics d'armes, attentat du café de Paris - dans lesquelles était impliqué le président actuel, Ismael Omar Guelleh, alors chef de cabinet de son oncle, le chef d'Etat Hassan Gouled Aptidon.

    L'affaire aurait pu en rester là si la femme de Bernard Borrel, Elisabeth Borrel - qui n’a jamais cru à la thèse du suicide - ne s'était pas battue pour connaître la vérité.

    Sans doute par crainte de perdre une base militaire française et une capacité d'intervention dans une zone sensible sur le plan géopolitique, les autorités politiques françaises ont multiplié, pendant 10 ans, pressions et manipulations pour empêcher qu'éclate la vérité. Malgré cela, la thèse de l'assassinat de Bernard Borrel a finalement été confirmée par des expertises médico-légales, ordonnées par les autorités françaises, en 2003.

    L'affaire Bernard Borrel

    Nom : Bernard Borrel
    Nationalité : Française
    Profession : Magistrat
    Activités : Conseiller du ministre de la Justice de Djibouti, Moumin Badon
    Assassiné le 19 octobre 1995 à Djibouti

    Un meurtre déguisé en suicide

    Dès février 1997, plusieurs légistes français doutent du suicide de Bernard Borrel. Aucune trace de suie n’est décelée dans les poumons de la victime, ce qui signifie que la victime ne respirait plus au moment de la combustion. Par ailleurs, la présence très importante de liquide inflammable sur le haut du corps de la victime, et la quasi-absence de ce liquide sur le bas du corps, mettent en doute la thèse de l’auto-aspersion. Si Bernard Borrel s’était auto-aspergé d’essence, debout, comme le prétend la thèse officielle, davantage de pétrole aurait été retrouvé sur ses jambes.

    En juin 2003, le corps de Bernard Borrel est exhumé. De nouvelles expertises médico-légales sont effectuées. Les toxicologues découvrent sur la victime la présence de deux liquides inflammables. Or sur les lieux du drame, un seul jerrycan d'essence a été retrouvé. L’absence d’un second récipient prouve que Bernard Borrel n’était pas seul au moment de sa mort.
    Les légistes découvrent sur la victime une fracture du bras (réflexe de défense) et un traumatisme crânien provoqué par un instrument tranchant. Des résidus de cannabis sont par ailleurs retrouvés dans la poche du short de Bernard Borrel. Or les analyses de cheveux prouvent qu'il n'en a jamais fumé. La présence de cannabis conforte la thèse d’une mise en scène : faire croire qu'il s'était drogué avant de se suicider.

    Le mobile du meurtre

    En 1990, un attentat est commis au Café de Paris, à Djibouti. L’enfant d'un militaire français est tué. Le juge Roger Le Loire est saisi de l'instruction. En 1994, il fait appel à Bernard Borrel, pour l'aider dans l'enquête. Selon des témoins djiboutiens, le magistrat français aurait découvert l'implication du président Guelleh dans cet attentat et dans un trafic d'armes. Cela pourrait expliquer son assassinat.

    Les intérêts français à Djibouti

    Djibouti abrite depuis des décennies la plus importante base militaire française en Afrique (2.800 hommes), ainsi qu'une énorme station d'écoutes captant toutes les communications du Proche-Orient. Jusqu'à peu, l'aide financière de la France représentait environ 60 % des ressources de Djibouti. Mais depuis les attentats du 11 septembre 2001, la France est vivement concurrencée dans son « pré-carré ».

    La position géostratégique privilégiée de Djibouti - au coeur de la Corne de l'Afrique et en face de la péninsule arabique - dans la guerre contre le terrorisme est convoitée par plusieurs armées occidentales. Des militaires européens allemands, espagnols, italiens y sont implantés. Une base militaire américaine a été créée en 2001, permettant à 1.500 « marines » de s'entraîner en terrain désertique. La présence d'un port et d'un aéroport modernes ont également permis à l’armée américaine de mettre en place un système régional de veille maritime et aérienne, pour tenter d’empêcher l’infiltration d’éléments du réseau Al-Qaida sur les côtes yéménite, somalienne ou kényane. Bénéficiant du soutien appuyé des américains (octroi d’une rente de 31 millions de dollars par an en échange de la présence américaine sur le sol djiboutien ; visite du président Ismaïl Omar Guelleh à Washington, en janvier 2003), Djibouti est en mesure de revoir ses alliances, si la France ne met pas un terme aux demandes d’audition répétées de la justice de plusieurs hauts responsables djiboutiens sur l’affaire Borrel. Se pourrait t-il, que par crainte de perdre une base militaire française et une capacité d'intervention dans une zone sensible sur le plan géopolitique, les autorités françaises aient été
    tentées de maquiller ce crime en suicide ?

    Une volonté d'étouffer l'affaire ?

    La progression de l'instruction est régulièrement entravée, depuis près de 10 ans, par des blocages et des pressions émanant directement des autorités françaises : différentes procédures visant les avocats d'Elisabeth Borrel, le Syndicat de la magistrature français et des témoins décisifs ayant osé impliquer l'entourage présidentiel djiboutien.

    Le 29 janvier 2005, alors que la juge Sophie Clément, en charge du dossier, fait connaître son refus de transmettre le dossier Borrel aux autorités djiboutiennes - estimant que cette demande est un détournement de procédure - le ministère des Affaires étrangères assure qu'une copie du dossier d'instruction sera transmise à la justice de Djibouti. Bien que le Syndicat de la magistrature ait dénoncé « une nouvelle immixtion inadmissible de l'exécutif dans le cours de l'instruction judiciaire concernant l'assassinat du juge Borrel » et saisi le Conseil supérieur de la magistrature, cette violation du principe de la séparation des pouvoirs n'a suscité aucun rappel à l'ordre du Garde des sceaux de l’époque, Dominique Perben.

    Le 17 mai 2005, à l'occasion d’une réception donnée par la France pour le chef de l'Etat djiboutien, le président français a même réaffirmé son soutien au président Guelleh et a rappelé la justice à l'ordre, en insistant sur la durée excessive de cette procédure. Alors que le président Guelleh est convoqué comme témoin par la justice française, le Quai d'Orsay a fait savoir qu'il était normal qu'il ne réponde pas à cette convocation compte tenu de son immunité de chef d'Etat.

    L'Etat français tente également de restreindre la liberté d'expression des journalistes sur les développements de l'affaire Borrel via les autocensures de Radio France International sur ce sujet et via la multiplication des poursuites pénales visant les journalistes et les organes de presse (Libération, Le Monde, Golias, Canal plus, Canard enchaîné), « coupables » de s'être écartés de la thèse officielle du suicide qui a prévalu jusqu'en juin 2000.

    Sur le site de l'ACAT, vous trouverez une lettre à envoyer à Dominique de Villepin, corespondant à cet appel.


    Les communiqués de Survie :

    L'affaire Bernard Borrel, une nouvelle affaire Dreyfus

    > http://www.survie-france.org/article.php3?id_article=322
    Publié le mardi 21 octobre, 2003

    Alors que des rapports d’expertise tronqués ou bidonnés avaient essayé de faire croire à un suicide, trois experts médico-légaux, Daniel Malicier,
    Eric Baccino et Patrice Mangin, ont remis au juge d’instruction Sophie Clément un rapport définitif selon lequel trois points étayent la thèse de
    l’assassinat à Djibouti, en 1995, du juge coopérant Bernard Borrel : l’existence d’un traumatisme crânien qui aurait pu survenir à la suite d’un
    coup porté par un « instrument contondant », la présence d’une fracture qui pourrait être une « lésion de défense » et surtout, la présence d’un
    liquide inflammable décelée sur le pied droit, liquide d’une autre nature que l’essence supposée être contenue dans le bidon retrouvé sur les lieux
    du drame (selon l’AFP du 201003). Une autre expertise sera prochainement publiée, qui contribue à discréditer la thèse du suicide. Il est tout à
    fait étonnant, pour ne pas dire plus, que les premiers experts commis n’aient pas décelé l’enfoncement du crâne et la fracture de défense. Ils étaient sans doute trop liés au ministère de la Défense…

    Acculé, l’Etat français se met à invoquer le Secret Défense à propos de 12 documents qui pourraient contribuer à établir la vérité et faire justice en cette affaire. C’est une forme d’aveu : l’Etat françafricain ne sait plus comment cacher sa complicité avec la dictature djiboutienne dans ce crime sordide.


    Communiqué de presse
    Publié le mercredi 29 Octobre 2003

    Affaire Borrel, nouvelle affaire Dreyfus (suite) : Survie demande la démission pour forfaiture de la directrice de l'Institut médico-légal de Paris, Mme Dominique Lecomte.

    > http://www.survie-france.org/article.php3?id_article=324

    En opposant le « Secret défense » à la fourniture à la justice de 12 documents susceptibles d’éclairer la mort violente du juge Bernard Borrel à
    Djibouti, en 1995, les autorités françaises avouent implicitement que cet assassinat déguisé en suicide est une « affaire d’Etat ».

    En conduisant et signant l’expertise rocambolesque qui a avalisé l’impossible thèse du suicide, Mme Dominique Lecomte, directrice de l’Institut médico-légal de Paris, a déshonoré sa fonction et son institut.
    Comme les experts de l’affaire Dreyfus, elle a commis une forfaiture. Obtenir sa démission est le seul moyen de sauvegarder le crédit de
    l’institution judiciaire. Libre à cette fonctionnaire d’expliquer ensuite quelles pressions l’ont amenée à prolonger ainsi les collusions mafieuses entre les autorités françaises et djiboutiennes.


    extraits d'une dépêche Reuter sur le sujet :

    mardi 21 octobre 2003, 14h40
    La thèse de l'assassinat renforcée dans l'affaire Borrel

    > http://fr.news.yahoo.com/031021/85/3gid7.html

    PARIS (Reuters) - Une expertise médico-légale rendue publique mardi renforce la thèse de l'assassinat dans l'enquête sur la mort de Bernard Borrel, en 1995, à Djibouti, ce qui a conduit la veuve du magistrat français à demander que l'enquête soit relancée.

    "Il n'est toujours pas possible d'établir formellement la cause du décès (...)
    Nous estimons que l'hypothèse de l'intervention d'un ou plusieurs tiers à l'origine du décès de M. Bernard Borrel se trouve renforcée",
    écrivent trois experts dans un rapport remis à la juge d'instruction de Paris Sophie Clément. (...)
    Confirmant un premier rapport de novembre 2002 réalisé après exhumation du corps, les experts relèvent trois éléments venant appuyer la thèse de l'assassinat: la présence d'un traumatisme crânien, d'une fracture à l'avant-bras gauche, et la présence de traces d'un second liquide
    inflammable autre que l'essence détectée dans un premier temps. (...)
    La juge d'instruction Sophie Clément va demander la levée du secret-défense sur douze documents, dont la nature est inconnue, ont précisé les avocats d'Elisabeth Borrel, Mes Laurent de Caunes et Olivier Morice. Une commission donnera un avis puis la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie tranchera.


    Et un article du Figaro :

    Affaire Borrel : la thèse de l'assassinat se renforce
    (Le Figaro 22/10/2003)
    http://www.africatime.com/djibouti/nouvelle.asp?no_nouvelle=85596&no_categorie=PRESSE
    Ou en acces payant sur :
    http://www.lefigaro.fr/cgi/perm/archives/find?url=http://newportal.cedrom-sni.com/httpref/intro.asp&user=lefigaro&part_ID=lefigaro

    Pendant huit ans le doute a plané sur les circonstances de la mort de Bernard Borrel. En 1995, la dépouille calcinée de ce juge français avait été retrouvée dans un ravin à 80 kilomètres de Djibouti. Désormais la thèse du suicide, longtemps brandie en guise d'explication à cette mort brutale,
    est écartée. Une nouvelle expertise rendue publique hier par les avocats de la veuve conclut que «l'hypothèse de l'intervention d'un tiers ou de plusieurs tiers à l'origine du décès de Bernard Borrel se trouve renforcée».

    Déjà en novembre dernier, à la demande du juge d'instruction Jean-Baptiste Parlos, ce collège de trois experts avaient mis en évidence que le suicide était «difficilement crédible». Il pointait du doigt l'existence, jusqu'alors jamais décelée en dépit de plusieurs autopsies, d'une importante lésion sur le crâne et d'une autre au poignet attribuées à «un objet tranchant et contondant». Mais, il ne s'engageait guère sur l'origine de ces coups. La seconde mission est plus précise. Elle insiste sur le fait que le traumatisme crânien est peu compatible avec une chute alors que la
    blessure à l'avant-bras correspond à une «lésion de défense». Enfin, les spécialistes écartent la possibilité «d'une autoaspersion» d'essence.

    «Il semble désormais clair que Bernard Borrel a été frappé, aspergé d'essence et enflammé par son ou ses assassins», insiste Me Olivier Morice,
    l'un des défenseurs d'Élisabeth Borrel. Et de mettre en avant «une nouvelle preuve» de l'assassinat : une trace d'hydrocarbure «qui n'est pas de
    l'essence» découverte sur le pied de la victime. «Or, on a retrouvé près du corps qu'un seul jerrycan et il contenait de l'essence», rappelle l'avocat.

    Élisabeth Borrel, elle aussi magistrat, entend maintenant lancer une offensive judiciaire tous azimuts pour «connaître la vérité» dans «cette
    affaire d'Etat». Ainsi, dans les semaines à venir, ses avocats demanderont la saisine de la commission de levée du secret défense. De fait, fin août,
    dans un courrier, le ministère de la Défense a indiqué qu'il possédait douze documents «présentant un lien avec la mort du juge Borrel» mais que
    ces pièces étaient «protégées au titre du secret défense». Par ailleurs, la veuve attend le développement d'une plainte pour «subornation de témoins»
    confiée au doyen des juges d'instruction de Versailles. La procédure vise les pressions qu'ont subies Ali Ifti et Mohammed Aloumekani. Ces deux
    anciens membres de la garde présidentielle de Djibouti affirment avoir été les témoins d'une conversation en haut lieu à propos de «la mort du juge
    fouineur».

    Reste que dans cette «quête de la vérité» le plus difficile est sans doute à venir. Ainsi les mobiles du meurtre demeurent flous. Conseiller auprès du
    ministre de la Justice de Djibouti, Bernard Borrel aurait découvert des informations sur des dossiers sensibles, notamment l'attentat de 1990
    contre le Café de Paris, un bar de Djibouti fréquenté par les expatriés.
    Mais cette fois ni expertises ni témoignages ne sont là pour étayer cette hypothèse.

    Tanguy Berthemet


    Autres liens :
    le communiqué Survie du jeudi 5 décembre 2002:
    L'assassinat du juge Borrel : une affaire Dreyfus
    http://www.survie-france.org/article.php3?id_article=128

    Présentation de : Juge Borrel : Révélations sur un suicide impossible
    Enquête de Bernard Nicolas et Jean-Claude Fontan
    Montage Mathias Quincé - 38 mn
    Canal+, magazine “90 minutes”
    Première diffusion lundi 2 décembre 2002
    (avec historique de l'affaire)
    http://www.canalplus.fr/emissions/lundi_investigation/90mn_borrel.asp

    Nouvzl Observateur, jeudi 16 mai 2002
    Sept ans après - La mort toujours mystérieuse du juge Borrel
    http://www.nouvelobs.com/articles/p1958/a17793.html

    Dossier d'actualité RFI: Djibouti - Affaire Borrel, mensonge d’État ?
    23/10/2003
    http://www.rfi.fr/actuchaude/special.asp?m1=1&m2=1&identifiant=13495&ID_sRUB=71&id_dos=0

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